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Bonnes Idées

départements marketing

Les départements et le marketing : que vous apprennent les cas de ces trois territoires ? 

Pour bon nombre d’étudiants en communication, une carrière en entreprise constitue généralement le débouché le plus probable. Pourtant, les départements offrent de très bonnes perspectives de carrière. Ils sont de plus en plus nombreux à investir dans leur communication pour augmenter leur attractivité auprès d’investisseurs et des touristes. En la matière, 3 territoires se sont récemment révélés, offrant ainsi d’excellentes idées de stratégie de marketing territorial. 1. Meuse et la réalité virtuelle Peu connu des touristes, Meuse est pourtant un département de la région du Grand Est à fort potentiel culturel et historique. Bercé par des influences italiennes et méditerranéennes, il est particulièrement connu pour l’authenticité de son paysage. Le département comporte un potentiel de grande qualité malheureusement peu connu qui mériterait pourtant plus d’attractivité. C’est ce qu’a tenté de faire le département en collaboration avec Meuse Attractivité, une agence de développement en lançant, au mois d’avril dernier, une initiative très innovante : un jeu vidéo immersive basée sur la réalité virtuelle.  Les joueurs doivent tenter de gagner les produits les plus emblématiques du département au nombre desquels on retrouve les Dragées de Verdun ou les madeleines de Commercy. Tout le jeu est construit autour d’une balade à vélo et la quête permet aux joueurs de parcourir les lieux les plus emblématiques.  L’accent a été mis sur la dimension “découverte” et “instruction”, avec des explications sur chaque lieu historique traversé pendant la quête. Le but de ce jeu, selon la municipalité, c’était de “promouvoir le territoire rural de la Meuse et ses atouts en tant que destination pour le tourisme et de patrimoine“.  Le format du jeu a surtout été choisi pour attirer les plus jeunes d’une part et d’autre part dépoussiérer l’image du territoire. Depuis son déploiement, le jeu “Meuse Rider” est téléchargeable sur la plateforme SideQuest ou auprès des ambassadeurs de Meuse Attractivité. 2. L’Issy-les-Moulineaux et sa campagne procommerçants En matière de coup d’éclat marketing, l’Issy-les-Moulineaux n’est pas la région française à laquelle on pense en premier. La ville est bien décidée à changer la donne, notamment avec l’imminence des Jeux olympiques Paris 2024. Elle emboîte ainsi le pas aux annonceurs qui ont décidé de surfer sur cette actualité à travers sa campagne “En télétravail, la pause déj’, c’est Issy” déployée depuis le 11 mars et prévue pour durer jusqu’à la fin de l’été.  Ce projet a donné lieu à une présence sur les réseaux sociaux, à la diffusion de reportage vidéo sur la télévision locale (Issy TV) ainsi que des affichages dans la ville. Le but, c’est d’anticiper sur la hausse du télétravail pendant les JO dans la ville pour encourager les habitants à miser sur les commerces locaux et les restaurateurs.  3. La Normandie et sa campagne verte  Entre la Basilique Sainte-Thérèse de Lisieux, le mémorial de Caen ou encore les jardins de Claude Monet-Giverny, la Normandie est une véritable mine d’or touristique. Pourtant, ce n’est pas pour son patrimoine architectural que le département a décidé de se mettre en avant pour sa verdure.  En collaboration avec l’agence Normandie Attractivité, le département a dévoilé sa nouvelle stratégie marketing baptisée : “Choisir la Normandie, pour un monde meilleur”. Avec pour objectif d’attirer la jeunesse active, la Normandie souhaite soutenir les efforts des industriels vers une économie plus durable. À cet effet, toutes les actions mises en œuvre ont été renseignées sur le site choisirlanormandie.fr.  Un spot a été diffusé sur les réseaux sociaux par Normandie Attractivité le 20 mars à l’occasion de la Journée mondiale du bonheur et du bien-être pour montrer ce nouveau positionnement. Pour déployer sa stratégie, la Normandie compte sur un réseau de 11 000 ambassadeurs et 1200 partenaires dans le but d’atteindre 150 000 internautes, précisément les jeunes.

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Stratégie social media

Stratégie social media : ces 6 erreurs à éviter absolument au 2nd semestre 2024 !

Alors que le premier semestre 2024 vient de s’écouler, il a été riche en stratégies social media très inspirantes qui nous apprennent non seulement ce qui a marché, mais aussi ce qu’il faut arrêter de faire. Si vous faites vos débuts en tant que responsable social media, voici les 6 erreurs à éviter absolument au second semestre 2024. Erreur n°1 : Essayer de communiquer et de plaire à tout le monde Vous souhaitez mettre en place une stratégie media social efficace ? Vous ferez mieux d’avoir un discours bien tranché. Sur les réseaux sociaux, il est impossible de plaire à tout le monde et essayer de le faire, c’est prendre le risque de lisser son propos et de se fondre complètement dans la masse. C’est surtout manquer d’authenticité et de singularité alors que c’est justement ce qui permet de se faire remarquer en 2024.  Erreur n°2 : Tout miser sur l’esthétique  Au début des réseaux sociaux, c’est le beau qui dictait sa loi. C’était le principal levier pour avoir des likes et de la visibilité rapidement. L’expérience de ce premier trimestre 2024 a démontré que ce n’est plus le cas. Ce qui fait percer sur les réseaux sociaux, c’est la singularité. En tant que responsable social media, vous devez miser sur une bonne créativité graphique, adopter une tonalité authentique et choisir un angle éditorial axé sur des sujets qui sortent de l’ordinaire. Erreur n°3 : Mettre en place une opération d’influence comme en 2018 Avec la loi d’influence entrée en vigueur en 2023, le secteur a connu des changements majeurs. Les collaborations commerciales (placement de marques ou de produits) doivent être clairement affichées pour renseigner le public.  Par conséquent, les opérations d’influence qui marchaient en 2018, en 2024, paraissent comme des coupures “pub”. L’astuce, c’est de se renouveler sans cesse, notamment en termes de concepts et de créativité.  L’impact des plateformes doit être aussi pris en compte. Une stratégie multicanal est indispensable, sans oublier de bien choisir le profil des influenceurs. En 2023, c’est Twitch qui est arrivé en tête des plateformes ayant compté le plus grand nombre de collaborations.  Erreur n°4 : Traiter distinctement la création de contenus et leur diffusion De nombreuses stratégies par le passé se sont concentrées sur le contenu : il doit être accrocheur, intéressant et prolifique. Malheureusement, aussi bon soit le contenu, il ne vaut rien s’il n’est pas bien visible. La plupart des annonceurs n’allouent pas suffisamment de budgets pour médiatiser leur budget. Vous devriez aussi éviter d’allouer des budgets monstrueux à la diffusion alors que le contenu est léger, peu travaillé et bien souvent hasardeux. Dans les deux cas, la stratégie est mauvaise. Ce qu’il faut faire en tant que responsable social media, c’est pensé autant la création des contenus en même temps que la diffusion.  Erreur n°5 : Limiter LinkedIn à du B2B Puisqu’on est en train de parler du choix des réseaux sociaux, il est important de se pencher sur le cas de LinkedIn. En général, c’est le réseau social de référence quand on parle d’opportunités professionnelles, de réseautage, d’opportunités de recrutement, de parrainage ou d’embauche. Cependant, ce serait une grave erreur de limiter LinkedIn à cela en 2024. En tant que futur responsable de stratégie social media, vous devez savoir que LinkedIn peut être utilisé comme une vitrine pour des marques.  Le fait est que la plateforme regorge de profils CSP+ très sensibles aux engagements de marque, à la culture d’entreprise quand il s’agit de trouver de nouveaux clients. C’est l’occasion de les présenter non seulement pour des partenariats B2B, mais aussi pour donner envie à des profils pertinents de rejoindre l’équipe de la marque. Erreur n°6 : Bannir l’IA Depuis son lancement, l’IA a montré son potentiel, même si la technologie continue d’être controversée. Un responsable social media doit comprendre l’opportunité qu’elle représente dans la recherche d’informations et à la création de contenu. Ce serait une erreur de se braquer contre l’IA, l’outil pouvant être associé à la modération de visuels ou de maquettes créatives.

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Marketeurs et commerciaux

Marketeurs et commerciaux devraient mieux travailler ensemble en 2024 : voici pourquoi et comment !

Pour de nombreuses entreprises, la collaboration entre les équipes commerciales et marketing peut poser problème. Pourtant, elle est cruciale pour augmenter les ventes, surtout à une époque où les consommateurs s’informent en permanence. En tant qu’étudiant en communication, non seulement il est important d’appréhender ces enjeux, mais aussi connaître les solutions existantes pour une meilleure coopération.  Mutualisation des interfaces logicielles, un véritable défi Pour les équipes commerciales, il n’a jamais été aussi difficile qu’en 2024 d’aller de mener une conquête commerciale. Le défi est encore plus grand dans le domaine du B2B. Selon l’éditeur de logiciels de marketing HubSpot, 96 % des prospects commencent par des recherches personnelles avant de s’adresser aux commerciaux, ce qui les oblige à se réinventer.  Au nombre des obstacles à surmonter, il y a la gestion des architectures logicielles. Celles qui existent actuellement au sein des entreprises sont confrontées à des problèmes d’interopérabilité et d’interfaçage, ce qui n’encourage pas une collaboration entre les commerciaux et les marketeurs.  Chacun est cloisonné dans ses pratiques du travail avec différents logiciels, avec un manque total de connexion entre les systèmes et les outils utilisés. Non seulement les équipes n’ont donc pas accès aux mêmes données clients, mais en plus elles ont la plupart du temps des objectifs différents. La solution, selon la head of brand and marketing France de HubSpot, Virginie Le Lièvre, c’est de faire collaborer toutes les équipes sur une plateforme unique multifonction qui unifie les données clients (attentes, expérience) pour mieux satisfaire les consommateurs.  Un problème qui coûte le trilliard de dollars aux entreprises par an Selon l’ex-directeur marketing de Microsoft France, Sébastien Imbert, la perte de revenus annuelle des entreprises au plan mondial en raison de l’absence de collaboration entre les équipes marketing et commerciales est estimée au trilliard de dollars.  Un fait qu’il déplore, sachant que leur travail a pour seul et même but de faire prospérer l’entreprise. Le fait de fonctionner différemment, d’avoir des métriques différentes et de poursuivre des objectifs divergents nuit justement à ce but ultime.  Selon Imbert, un sponsorship de la direction permettrait aux équipes d’être parfaitement alignées, ce qui devrait impacter le taux de conversion de 30 %, notamment dans le B2B. De plus en plus conscient du défi, les directions générales misent sur des experts en création de stratégie commerciale pour faire collaborer commerciaux et marketeurs.  Microsoft, un cas d’école En la matière, le cas de Microsoft France devrait en inspirer plusieurs. Sébastien Imbert explique que de 2018 à 2022, avec ses équipes, ils ont contribué au développement de 3 indicateurs pour mesurer l’évolution du processus de vente : le content seller usage, le marketing insights for sellers et le marketing engagement index. Cela a permis à Microsoft d’automatiser les campagnes sur les comptes privilégiés. L’IA a eu un impact significatif dans le processus de mutualisation effectué par Sébastien Imbert et ses équipes. En effet, Microsoft a pu se servir de cette technologie pour établir des indicateurs qui mesurent le niveau d’engagement du consommateur vis-à-vis des actions marketing déployées et de la firme elle-même.  Pour s’assurer que les équipes de vente utilisaient correctement les informations à haute valeur ajoutée, il a misé sur la gamification qui les a encouragés à recourir aux marketing insight for sellers dans leur façon de comprendre les comptes et leur approche commerciale.  Une compétition à l’échelle mondiale a été créer pour déceler les commerciaux qui utilisaient le mieux les insights marketing. La synergie et la confiance entre les équipes s’en sont trouvées fortement renforcées grâce à ça.  Avec la mise au point du content seller usage, Microsoft pouvait connaître les contenus que partageaient les commerciaux et les clients et cela a été un moyen de les encourager à en générer de meilleurs.

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réseau social étudiant en communication

Sur quel réseau social faut-il absolument être quand on est étudiant en communication ?

En 2024, les médias sociaux dominent fortement l’environnement de la communication. Pour un étudiant en communication, une présence en ligne est indispensable non seulement pour intégrer des réseaux professionnels, mais aussi pour développer des compétences et être au courant des tendances actuelles. Quel réseau social faut-il privilégier et dans quel objectif ? On fait le point ! LinkedIn  C’est le réseau social par excellence pour le réseautage. Spécialement dédié à l’établissement de contacts professionnels, LinkedIn permet de suivre les influenceurs et les entreprises du secteur de la communication. Vous pouvez prendre part aux discussions sur les tendances actuelles en matière de communication. Il est aussi facile d’y trouver des opportunités d’emploi, de stage, de mentorat ou de tutorat.  Medium Si vous vous spécialisez en communication écrite, en copywritting ou en rédaction, vous devez absolument être sur Medium. Ce réseau social est exclusivement dédié à la publication d’articles. C’est la bonne plateforme pour montrer vos talents rédactionnels en écrivant sur des sujets d’intérêt qui vous permettent de montrer votre expertise. Les chances d’attirer l’attention d’un public professionnel et de trouver des opportunités d’emploi sont très élevées.  Twitter En tant qu’étudiant en communication, la présence sur un réseau social comme Twitter permet d’être au courant de toute l’actualité, des dernières tendances dans le secteur de la communication. Vous pouvez suivre les agences de communication et les experts et rester informer grâce aux hashtags.  C’est aussi la plateforme idéale pour faire du microblogging. Vous pouvez prendre part aux discussions sur des thématiques d’actualité dans votre domaine. Partager vos connaissances en matière de communication vous permettra surtout de vous faire remarquer et de trouver par la même occasion des opportunités professionnelles.  Clubhouse Moins connu du grand public, Clubhouse est une plateforme de discussion audio en direct. Il permet de participer à des discussions en direct pour débattre de questions spécifiques. Sur ce genre de média social, un étudiant en communication peut prendre part aux discussions, apprendre des professionnels du domaine et surtout saisir les opportunités de réseautage.  Instagram  Ce réseau social est perçu à tort comme une simple plateforme de partages de vidéos et de photos en stories et en réels. Pourtant, pour un étudiant en communication qui se spécialise en marketing et en communication visuelle, c’est une véritable mine d’or.  Cette plateforme vous offre l’occasion de montrer vos compétences en personal branding, en storytelling et en création de contenus visuels. Vous montrez également votre capacité à engager une communauté autour d’une cause ou d’un profil, ce qui est très intéressant si vous aspirez à devenir community manager ou brand content manager. TikTok TikTok a beau être le réseau social le plus récent, c’est aussi celui qui prend d’avoir le plus d’engagements rapidement. C’est ce qui lui a permis de devenir l’un des outils de communication digitale les plus puissants.  Un étudiant en communication peut y montrer sa créativité en création de contenu, notamment les contenus viraux, surtout s’il se spécialise en marketing. C’est aussi le créneau idéal pour montrer votre capacité à ajouter les effets artistiques comme les trucages visuels, les zooms ou les ralentis, mais aussi les effets sonores. Votre créativité pourrait vous faire rapidement remarquer par des agences de communication. Facebook On le sait ! Facebook n’est pas le réseau social le plus en vogue auprès des jeunes actuellement. Cependant, il n’est pas à mettre de côté pour autant. Pour un étudiant en communication, Facebook est principalement utile pour prendre part aux groupes de discussion sur les nouvelles tendances dans le domaine de la communication. Ces forums vous donnent l’occasion d’échanger vos idées, de poser des questions et de profiter de l’expertise des autres membres. 

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présence en ligne étudiant en communication

7 raisons d’avoir une présence en ligne en tant qu’étudiant en communication

Être en études de communication offre des opportunités professionnelles intéressantes, à condition d’avoir les bons réflexes. L’un d’eux, c’est de s’assurer une bonne présence en ligne. Entre l’acquisition de nouvelles compétences, la création d’un réseau professionnel ou le développement d’une marque personnelle, les raisons d’avoir une présence en ligne en tant qu’étudiant en communication sont nombreuses. Acquérir des compétences numériques La gestion de la présence en ligne pour un étudiant en communication implique généralement de la création de contenus. C’est l’occasion pour vous d’accéder à du contenu éducatif en suivant des webinaires, des blogs ou de participer à des groupes de discussion.  Internet sert aussi à développer des compétences pratiques. En effet, gérer votre propre présence en ligne est l’occasion de mettre en pratique les compétences en communication digitale qui serviront à étoffer votre CV : l’optimisation SEO, l’analyse de données ou le marketing des médias sociaux.  Créer de l’interaction et de l’engagement  En étant présent en ligne, vous pouvez engager le public et créer une véritable communauté en ligne. Grâce aux interactions avec votre public, vous obtenez des retours de votre audience, ce qui vous permet de tester les techniques de communication qui marchent et de vous ouvrir aux nouvelles perspectives. Trouver de l’inspiration Pour un étudiant en communication, internet représente une véritable mine d’or pour apprendre, affiner ses compétences techniques ou encore trouver de nouvelles inspirations. En étant actif, vous apprenez des nouvelles tendances, les meilleures technologies et des nouvelles pratiques dans votre domaine. Entre forum, articles et participations à des webinaires, vous avez largement de quoi compléter vos compétences académiques.  Développer sa marque personnelle Pour se faire remarquer par les entreprises ou des agences de communication, il faut avoir un profil attractif et cela passe par le développement d’une marque personnelle. Un étudiant en études de communication doit se construire une image de marque en ayant un compte sur des médias sociaux professionnels comme LinkedIn.  Partager régulièrement du contenu pertinent qui vous positionne comme un expert de votre domaine est un excellent moyen de montrer vos réalisations, vos compétentes et votre expérience. Cela vous permet donc d’avoir et de gérer votre image professionnelle et de mettre de la lumière sur vos compétences. En outre, c’est aussi une façon de vous démarquer, notamment dans un secteur aussi concurrentiel que celui de la communication.  Avoir un portfolio en ligne  L’une des façons de faire vos preuves en tant qu’étudiant en communication, c’est d’avoir un portfolio en ligne. Un blog personnel ou un site web peut tout à fait servir de portfolio. Vous vous en servirez comme plateforme pour présenter vos travaux, qu’il s’agisse d’articles, de projets audios visuels ou d’études de cas. Pour de potentiels employeurs, ce type de contenu prouve votre créativité et vos compétences. Se rendre visible et accessible  Dans un secteur aussi fluctuant que celui de la communication, un parcours classique en institut de formation ne suffit pas. De plus en plus d’entreprises ou d’agences de communication procèdent à des recrutements sauvages en scrutant les profils intéressants sur les réseaux sociaux. Avoir une belle présence en ligne permet aux recruteurs d’avoir accès à votre profil.  Créer un réseau professionnel Votre présence en ligne en tant qu’étudiant en communication doit viser un but : créer un réseau professionnel. Sur les plateformes professionnelles comme sur les réseaux sociaux, vous pouvez vous connecter à des professionnels ou des experts de votre domaine d’études.  Vous avez également de grandes chances d’y trouver de potentiels employeurs ou mentors. Toutes ces opportunités peuvent déboucher sur un emploi, une collaboration ou un stage. De plus, la plupart des opportunités d’emploi ou de stage sont mises en ligne et être actif en ligne vous permet de les saisir promptement.

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reconversion professionnelle

Reconversion professionnelle : les clés pour réussir sa transition vers les métiers de la communication

Le milieu de la communication est très tentant : diversité de secteurs d’activité, de métiers, de débouchés, d’opportunités… En clair, on y retrouve tous les éléments qui pourraient intéresser des candidats à une reconversion professionnelle. Pour réussir sa transition vers les métiers de la communication, voici quelques clés importantes. Commencer par un bilan de ses compétences  L’un des avantages du secteur de la communication, c’est qu’on peut y arriver avec n’importe quelle formation initiale. Cependant, cela n’exclut pas le fait que, comme pour tous les domaines, il faut en avoir les compétences, surtout quand il s’agit d’une reconversion professionnelle. L’une des premières clés pour réussir votre reconversion professionnelle, c’est de commencer par une auto-évaluation. Elle consiste à faire un bilan de vos compétences actuelles, mais aussi de vos qualités personnelles et de vos faiblesses.  Il faut dire que la plupart des métiers de la communication exigent des compétences techniques (communication écrite, rédaction, relations publiques, etc.), des compétences analytiques (storytelling, créativité) ou encore interpersonnelles (écoute active, relationnel, communication orale, etc.). Bien choisir sa formation Dans le cadre d’une reconversion professionnelle à un métier de la communication, les modes de formation sont plutôt variés. L’un d’eux consiste à suivre une formation dans un cursus normal soit en présentiel, soit en ligne. Il y a également l’option des certifications et des MOOC. Par ailleurs, pour réussir sa transition, il est préférable de choisir une spécialisation et en la matière, vous avez tout intérêt à choisir parmi les métiers de la communication qui recrutent le plus actuellement : social media manager, community manager, web designer, attaché de presse, chargé de communication, content manager, SEO manager. Pour ce faire, n’hésitez pas à procéder au préalable à une évaluation du marché de l’emploi. Passez en revue les offres d’emploi, les qualifications et compétences exigées. Des enquêtes informelles auprès des professionnels en activité vous permettront d’en savoir plus sur les exigences du marché. Pour être au parfum des dernières tendances et technologies dans le secteur, il faudra aussi faire de la veille technologique.  A lire aussi : Le métier de Community Manager : combien gagne ce professionnel ? Privilégier l’expérience pratique  Si une formation de qualité est indispensable pour se reconvertir aux métiers de la communication, il est aussi fortement recommandé de la soutenir avec de l’expérience pratique.  N’hésitez donc pas à multiplier les stages, même en bénévolat, tant que cela vous permet d’avoir plus d’expérience du terrain. Dans votre entreprise actuelle, prenez part aux projets de communication pour vous affûter.  Pour faire le point de toutes les compétences acquises lors de vos différentes expériences, mettez au point un portfolio qui résume les travaux sur lesquels vous avez travaillé : campagnes media social, communiqué de presse, articles, etc.  Ne pas négliger le réseautage Si les compétences comptent pour beaucoup dans une reconversion professionnelle, elles ne vous seront pas bien utiles sans un bon réseau professionnel. Le fait est que les métiers de la communication reposent pour une grande part sur les connexions professionnelles.  En la matière, il y a plusieurs façons de développer un réseau professionnel : intégrer les associations professionnelles, prendre part aux événements du secteur, se connecter à des spécialistes sur des réseaux professionnels comme LinkedIn.  Il est en effet très important pour votre recherche d’emploi d’avoir une présence en ligne qui met en avant votre nouvelle spécialisation afin d’attirer  des professionnels qui pourraient être intéressés par votre profil. Le mentorat tient également une place très importante dans la réussite de votre transition. Trouvez-vous donc un mentor, idéalement dans le métier de la communication dans lequel vous souhaitez vous spécialiser. Non seulement vous pourrez obtenir de lui orientations et conseils, mais c’est aussi une façon de continuer à apprendre dans un secteur qui se renouvelle constamment. 

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enseignement supérieur

Tutorat : boostez votre réussite dans l’enseignement supérieur !

Le tutorat est un dispositif d’accompagnement pédagogique individualisé qui se développe de plus en plus dans l’enseignement supérieur. Il met en relation un étudiant expérimenté, le tuteur, avec un autre étudiant en difficulté, le tutoré. L’objectif est de favoriser la réussite de ce dernier en lui apportant une aide personnalisée. En quoi ce dispositif est-il avantageux pour les étudiants ? Voici des éléments de réponses.  Qui peut bénéficier du tutorat ? Tous les étudiants peuvent bénéficier du tutorat, quel que soit leur niveau d’études ou leur domaine d’études. Le tutorat est particulièrement utile pour les étudiants qui rencontrent des difficultés dans une matière particulière, qui ont besoin de soutien pour méthodologie de travail ou qui souhaitent simplement améliorer leurs résultats. Comment trouver un tuteur ? Il existe de nombreux moyens de trouver un tuteur : Combien coûte le tutorat ? Le coût du tutorat varie en fonction de plusieurs facteurs, tels que le niveau d’études de l’étudiant, la matière enseignée et la durée des séances. En moyenne, le coût d’une séance de tutorat est d’environ 20 euros. A LIRE AUSSI : Comment maximiser son expérience universitaire grâce aux clubs et associations étudiantes ? Le tutorat est-il efficace ? Oui, le tutorat a été prouvé efficace pour réduire le taux d’échec dans l’enseignement supérieur. En effet, les étudiants qui bénéficient d’un tutorat ont plus de chances de réussir leurs examens et d’obtenir leur diplôme. Les avantages du tutorat Y a-t-il des limites au tutorat ? Eh oui, le tutorat n’a pas que des avantages. Il existe quelques limites à ce dispositif. Ce qu’il faut retenir Le tutorat est un dispositif d’accompagnement pédagogique qui présente de nombreux avantages pour les étudiants. Cependant, il est important de prendre en compte les quelques inconvénients avant de s’engager dans un tutorat.

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réussir ses examens finaux

Stratégies pour réussir ses examens finaux : Des conseils pratiques pour exceller

Les examens finaux sont souvent considérés comme le moment décisif dans le parcours académique de tout étudiant. Ils exigent une préparation minutieuse et une approche stratégique pour garantir le succès. Quelles sont les stratégies et techniques qui peuvent aider les étudiants à se préparer efficacement et à performer lors de leurs examens finaux ? Découvrez les réponses dans ce billet. Planification proactive : La clé du succès La planification est essentielle pour une préparation efficace aux examens finaux. Avant d’aller vers les révisions, établissez un calendrier détaillé qui répartit votre temps de manière équilibrée entre toutes les matières à réviser. Tenez compte de la date de chaque examen et allouez suffisamment de temps à chaque sujet en fonction de sa difficulté et de votre niveau de compréhension actuel. Préparation des ressources : Rassemblez vos outils de réussite Assurez-vous d’avoir accès à toutes les ressources nécessaires avant de commencer vos révisions. Cela inclut les manuels, les notes de cours, les vidéos explicatives, ainsi que tout autre matériel pertinent. Organisez vos documents de manière ordonnée pour pouvoir les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin pendant vos révisions. Technique de révision efficace : Utilisez des méthodes éprouvées Il existe de nombreuses techniques de révision efficaces qui peuvent aider à maximiser le temps d’étude et à améliorer la rétention des informations. Parmi celles-ci, on retrouve la méthode Pomodoro, qui consiste à travailler pendant des périodes de 25 minutes suivies de courtes pauses de 5 minutes. Cette approche favorise la concentration et prévient la fatigue mentale. Pratique régulière des examens blancs : Simulez les conditions réelles Les examens blancs sont un excellent moyen de se familiariser avec le format et le style des questions d’examen, tout en évaluant votre niveau de préparation. Planifiez des sessions régulières d’examens blancs dans les semaines précédant vos examens finaux. Cela vous aidera à identifier vos points forts et faibles, et à ajuster votre plan de révision en conséquence. Gestion du stress : Trouvez des techniques de relaxation qui fonctionnent pour vous Le stress peut compromettre vos performances lors des examens finaux. Il est donc essentiel de développer des stratégies de gestion du stress efficaces. Que ce soit la méditation, la respiration profonde, l’exercice physique ou d’autres activités relaxantes, trouvez ce qui fonctionne le mieux pour vous et intégrez-le dans votre routine quotidienne pour rester calme et concentré pendant la période d’examen. Sommeil et nutrition : Négliger n’est pas une option Un sommeil adéquat et une alimentation saine sont cruciaux pour maintenir un niveau optimal de concentration et de performance mentale. Assurez-vous de bien dormir la veille de chaque examen et évitez les repas lourds et les boissons riches en caféine. Optez plutôt pour des repas équilibrés et des collations nutritives pour maintenir votre énergie tout au long de la journée d’examen. En suivant ces stratégies et en adoptant une approche proactive et organisée, les étudiants peuvent augmenter leurs chances de réussir leurs examens finaux avec succès. Se préparer efficacement, gérer le stress et maintenir un mode de vie sain sont des éléments essentiels pour exceller dans cette période cruciale de leur parcours académique.

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Pourquoi est-il important de développer son réseau professionnel dès le début de ses études ?

Le marché du travail est de plus en plus concurrentiel, et il est important de se démarquer des autres candidats. Avoir un réseau professionnel solide peut vous aider à trouver un stage, un emploi, ou même à lancer votre propre entreprise. Découvrez dans ce billet quelques conseils pour développer votre réseau professionnel dès le début de vos études. Commencez par votre entourage proche C’est souvent dans notre entourage proche que se trouvent les premières opportunités de développer son réseau professionnel. Voici quelques conseils pour tisser des liens avec vos proches : En procédant ainsi, vous pourrez créer un réseau solide de personnes qui vous soutiendront dans votre carrière. Participez à des événements étudiants Il existe de nombreux événements étudiants qui vous permettent de rencontrer des professionnels et d’autres étudiants. Assistez à des conférences, des salons de l’emploi, des ateliers, et des soirées networking. Voici quelques types d’événements étudiants auxquels vous pouvez participer : Pour profiter au maximum des événements étudiants, préparez-vous en amont, soyez proactif, faites preuve de curiosité, distribuez vos cartes de visite si vous en avez et ne manquez pas de suivre les événements sur les réseaux sociaux. A lire aussi : Comment se préparer à un entretien d’embauche ? Rejoignez des associations professionnelles De nombreuses associations professionnelles proposent des adhésions à prix réduit pour les étudiants. C’est un excellent moyen de rencontrer des professionnels, de participer à des événements, et de vous tenir au courant des dernières tendances de votre secteur. Voici quelques conseils pour choisir une association professionnelle : Voici quelques exemples d’associations professionnelles : Utilisez les réseaux sociaux professionnels Les réseaux sociaux professionnels sont un outil puissant pour développer votre réseau. LinkedIn par exemple est un excellent outil pour développer votre réseau professionnel. Créez un profil complet et soigné, et rejoignez des groupes pertinents à votre domaine d’études.  Voici quelques conseils pour utiliser les réseaux sociaux professionnels : A LIRE AUSSI : Étudier la communication en France : le guide pratique pour les étudiants africains Soyez proactif et n’ayez pas peur de contacter des professionnels N’hésitez pas à contacter des professionnels qui vous inspirent pour leur demander un entretien informatif. C’est une excellente façon d’en apprendre plus sur leur métier et de obtenir des conseils précieux. Voici quelques conseils pour contacter des professionnels : Entretenez votre réseau Le plus important est de ne pas négliger votre réseau une fois que vous l’avez développé. Prenez le temps de rester en contact avec vos contacts, de les féliciter pour leurs réussites, et de les informer de vos propres avancées. N’oubliez pas que le réseautage est un marathon, pas un sprint. Soyez patient, persévérant, et vous finirez par récolter les fruits de votre travail.

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Logement étudiant pas cher : 8 conseils pour trouver le bon !

La recherche d’un logement étudiant peut être une tâche ardue, surtout lorsque l’on a un budget serré. Heureusement, il existe de nombreuses astuces pour trouver un logement abordable et confortable. Découvrez dans cet article quelques conseils pour vous aider dans votre recherche. Définir votre budget Avant de commencer vos recherches, il est important de définir votre budget mensuel pour le loyer et les charges. Cela vous permettra de cibler les offres qui correspondent à vos moyens et d’éviter les déceptions. Choisir le type de logement Il existe plusieurs types de logements étudiants: studios, appartements en colocation, résidences universitaires, etc. Le choix dépendra de vos besoins et de vos préférences. La colocation est souvent une option plus économique, tandis que les résidences universitaires peuvent offrir des services et des équipements supplémentaires. S’y prendre tôt La recherche d’un logement étudiant est souvent un processus long et compétitif. Il est donc important de s’y prendre tôt, surtout dans les villes universitaires populaires. Commencez vos recherches plusieurs mois avant la rentrée scolaire. Explorer différentes options Ne vous limitez pas à un seul type de logement ou à un seul quartier. Explorez différentes options et comparez les prix et les services proposés. N’hésitez pas à contacter les agences immobilières, les CROUS et les associations locales pour obtenir des informations et des conseils. Profiter des aides au logement Il existe plusieurs aides au logement disponibles pour les étudiants, telles que les APL (Aide Personnalisée au Logement) et les ALS (Allocation de Logement à caractère Social). Renseignez-vous sur les conditions d’éligibilité et les démarches à suivre pour obtenir ces aides. Négocier le loyer N’hésitez pas à négocier le loyer avec le propriétaire, surtout si vous avez trouvé un logement qui correspond à vos besoins mais qui dépasse légèrement votre budget. Vous pouvez argumenter en comparant les prix des autres logements du quartier ou en proposant de signer un bail de longue durée. Visiter les logements avant de signer le bail Il est important de visiter les logements avant de signer le bail. Cela vous permettra de vérifier l’état du logement, l’environnement et les services disponibles. N’hésitez pas à poser des questions au propriétaire et à demander des photos si vous ne pouvez pas vous déplacer. Lire attentivement le bail Avant de signer le bail, lisez-le attentivement et assurez-vous de comprendre toutes les clauses. N’hésitez pas à demander des explications au propriétaire si vous avez des questions. Ce qui faut retenir En suivant ces conseils, vous maximisez vos chances de trouver un logement étudiant abordable et confortable. N’oubliez pas de vous y prendre tôt et de comparer les différentes options avant de faire votre choix. Bonus: N’hésitez pas à partager vos propres conseils dans les commentaires ci-dessous!

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