IFIC Formations

Communiquer, l’impératif vital des entreprises

« La communication doit se vivre avec vérité et bon sens » est venu dire Jean-Claude Perot, président du groupe METIS et de la CCI de l’Allier aux étudiants de l'IFIC
« La communication doit se vivre avec vérité et bon sens. » C’est par ces mots que Jean-Claude Perot, président du groupe METIS et de la CCI de l’Allier, a débuté son témoignage devant les étudiants en Mastère 1 "Directeur de Projets Images Communication" de l’IFIC. Entrepreneur aguerri, il a livré une vision sans fard de l’importance de la communication, surtout en temps de récession économique. Son message est clair : en période de turbulences, la parole du dirigeant devient un outil stratégique de développement.

Un pilier pour fédérer en interne

Pour Jean-Claude Perot, la communication interne n’est pas un luxe, mais un besoin primaire. Elle permet de clarifier les objectifs, de partager la vision et de maintenir l’engagement des équipes. En période de crise, où le stress augmente, il appelle à une communication régulière et transparente. Loin des discours formatés, il insiste sur l’importance d’un échange vrai, qui alimente la confiance et donne du sens au travail. Pour lui, une entreprise qui ne parle pas à ses collaborateurs court à l’échec.

Adapter le message aux cibles externes

Mais communiquer, c’est aussi parler à l’extérieur. Jean-Claude identifie quatre cibles majeures : clients, banques, fournisseurs et institutions. À chacune, il faut adresser un message adapté, pertinent, cohérent. En période d’incertitude, c’est cette communication externe qui rassure et crédibilise l’entreprise. Les bons mots, au bon moment, sur les bons canaux — LinkedIn, WhatsApp ou autres — peuvent faire la différence.

Se réinventer pour rester vivant

En temps de crise, la communication devient un levier de transformation. Pour Jean-Claude Perot, le dirigeant doit croire en son projet et le faire savoir. C’est en osant parler, en affirmant sa vision, qu’il embarque ses partenaires et fait émerger des solutions. Communiquer, c’est finalement refuser l’immobilisme.

La rédaction