La place qu’a prise Parcoursup dans le paysage de l’orientation post-bac est considérable, presque écrasante. Elle laisse croire que sans ses décisions, aucune poursuite d’études n’est possible.
Un système qui freine les ambitions
Cette vision est réductrice. L’orientation est un processus personnel, souvent progressif, qui peut se construire au fil des rencontres, des envies, et surtout du bon sens. Les choix éducatifs ne devraient pas être dictés par un algorithme, mais nourris par des aspirations profondes et des projets concrets.
Pourquoi pas le journalisme d’aujourd’hui ?
Il existe aujourd’hui, après le bac, de nombreuses formations hors Parcoursup qui permettent de s’épanouir, d’apprendre un métier et de bâtir une carrière. Le journalisme en est un exemple frappant. Des écoles reconnues proposent des cursus de trois ou cinq ans, diplômants et certifiés par l’État (titres RNCP), qui forment des professionnels compétents, dotés de solides bases théoriques et pratiques. Ce sont des parcours valorisants, à taille humaine, où l’accompagnement est souvent plus personnalisé.
Une solution à Clermont-Ferrand
À Clermont-Ferrand, l’IFIC est l’un de ces établissements. Créée par un journaliste professionnel de radio et de télévision, cette école propose un parcours en journalisme encadré par des intervenants en activité. Leur expérience donne aux étudiants un ancrage dans le réel, des contacts, et surtout une vision concrète du métier. Une orientation choisie, librement, loin du stress algorithmique de Parcoursup.
